Hervé Le Bis -peintre
http://hervé.lebis.expressionnisme.blogspot.com/ contact: hlebis@hotmail.fr tel:06.66.79.99.16
jeudi 17 juin 2021
lundi 1 mai 2017
Hervé le bis
THÈME SUR "LE TAUREAU LIBRE"
91c route des Romains parc Gruber Strasbourg
En partenariat avec la Fête du PNU (parc naturel urbain) et les ateliers ouverts organisés par l’association "Accélérateur de particules"; l’atelier de Hervé Le Bis sera ouvert au parc Gruber pour vous présenter ses dernières oeuvres sur la thématique du "Taureau libre".
NB:les artistes suivants ouvriront également leur atelier Parc Gruber
il s’agit de Vincent Malarte (peinture), de Pierre Cézorzinski (peinture)et Affid Mourbat( objet-sculpture)
dimanche 17 août 2014
samedi 24 novembre 2012
dimanche 9 septembre 2012
dimanche 10 juin 2012
lundi 30 avril 2012
Les deux arbres rouges. huile/toile 160x120
Opération Ateliers Ouverts Strasbourg
Bonjour,
Vous qui avez apprécié ma peinture, sur les sites "Artrinet", sur " Active Art" et "Visual Art",
J'ai l'honneur de vous annoncer que les 5/6 et 12/13 Mai 2012, mon atelier sera ouvert ces deux week end et serais heureux de vous
y accueillir. A tout bientôt. H Le Bis
Atelier Le Bis 91c route des Romains 67200 Strasbourg.
www.herve-lebis-artistepeintre.book.fr/
lebispeintrefauviste.blogspot.com/
Peintre Fauviste (Web et Image)
06.66.79.99.16
Opération Ateliers Ouverts Strasbourg
Bonjour,
Vous qui avez apprécié ma peinture, sur les sites "Artrinet", sur " Active Art" et "Visual Art",
J'ai l'honneur de vous annoncer que les 5/6 et 12/13 Mai 2012, mon atelier sera ouvert ces deux week end et serais heureux de vous
y accueillir. A tout bientôt. H Le Bis
Atelier Le Bis 91c route des Romains 67200 Strasbourg.
www.herve-lebis-artistepeintre.book.fr/
lebispeintrefauviste.blogspot.com/
Peintre Fauviste (Web et Image)
06.66.79.99.16
dimanche 15 janvier 2012
vendredi 15 juillet 2011
lundi 25 avril 2011
Préface de mon travail:
Portraits, paysages, taureaux représentent les sujets de cette peinture flamboyante !
Hervé le Bis s’enivre du pouvoir éclatant des couleurs.
Leur vivacité vibre. La simplification des traits, la rapidité de l’exécution concourt à donner naissance à des images poétisées. Son combat artistique est fougueux. L’artiste regarde du côté du Fauvisme, et de l’expressionnisme allemand.
Dans ses meilleures toiles, la gaîté des effets chromatiques finit par emprunter des accents dramatiques. Il le dit mieux que quiconque : Voyages épicuriens où l’œil choisit comme départ, des couleurs flamboyantes qui s’animent jusqu’au moment où la lumière s’électrise : On pense à la Nuit d’été, à La cathédrale de lumière...
Quand il joue avec la matière onctueuse de la pâte, il obtient un modelage quasi sculptural. Il simplifie le motif, les arbres, les champs, les montagnes. L’artiste en brosse les morphologies, comme dans les dessins d’enfant. La couleur prend la lumière, l’image se fige dans l’expression : Massifs et nuages jaunes, Les Ruisseaux...
La série des taureaux est touchante : El Toro nous regarde, on pense aux animaux cosmiques de Franz Marc.
Dans ses toiles abstraites, l’artiste met sa fureur au service du geste. Son dynamisme est plein d’entrain. Les tourbillons, le tumulte, caractérisent sa série intitulée Cosmotopie. Dans Variations 14 et 16 on assiste à une pluie d’atomes, à un déplacement d’énergies dans le chaos avant l’apparition des formes. Dans Variante 4, un corps dont on perçoit le pied géant est pris dans un vertige chromatique qui est sur le point de l’aspirer.
Il lui arrive de peindre avec des mouvements amples et circulaires comme s’il combattait un adversaire avec la pointe d’un fleuret, Variations 5, Variation 1, Variation 16.
Cette gestuelle particulière on la retrouve également dans ses dessins.
Dans la série de Gladiateurs, il semble animé par un esprit aux accents surréalistes. Les traits sont cinglants, les corps surpris dans des volumes comme les mannequins sans visage de De Chirico.
Le sujet le préoccupe, surtout dans la série des portraits. Pense-il a la ressemblance, à ce terrible face à face avec l’autre qui embarrasse les plus grands des artistes ?
La femme en jaune est un peu trop figée. Là où il réussit le plus, c’est quand il en dit beaucoup sans trop rentrer dans les détails. La femme allongée que l’on aperçoit sur une plage, qui dans cette lumière aveuglante jaune et bleue est subtilement évoquée.
Dans ses vedute, lorsqu’il s’arrête pour observer l’architecture, ses dessins au lavis se font évanescents. Il s’attarde aux détails, il laisse le mystère de la feuille blanche respirer.
Ses motifs appartiennent à un autre monde. L’univers artistique d’Hervé le Bis semble tourner le dos à l’inquiétante trépidation contemporaine. Sa poésie en cherche les dessous. Il semble nous dire qu’un visage n’est pas à tout prix agressif ou dérangeant et que dans les landes de la Camargue, les taureaux sont toujours là, majestueux et solaires, prêts pour le combat. Il nous dit aussi que la ville n’est pas la seule à mériter d’être traduite en peinture, puisque la nature est toujours là pour nous consoler.
Ileana Cornea critique d'Art et historienne. avril 2011
Hervé le Bis s’enivre du pouvoir éclatant des couleurs.
Leur vivacité vibre. La simplification des traits, la rapidité de l’exécution concourt à donner naissance à des images poétisées. Son combat artistique est fougueux. L’artiste regarde du côté du Fauvisme, et de l’expressionnisme allemand.
Dans ses meilleures toiles, la gaîté des effets chromatiques finit par emprunter des accents dramatiques. Il le dit mieux que quiconque : Voyages épicuriens où l’œil choisit comme départ, des couleurs flamboyantes qui s’animent jusqu’au moment où la lumière s’électrise : On pense à la Nuit d’été, à La cathédrale de lumière...
Quand il joue avec la matière onctueuse de la pâte, il obtient un modelage quasi sculptural. Il simplifie le motif, les arbres, les champs, les montagnes. L’artiste en brosse les morphologies, comme dans les dessins d’enfant. La couleur prend la lumière, l’image se fige dans l’expression : Massifs et nuages jaunes, Les Ruisseaux...
La série des taureaux est touchante : El Toro nous regarde, on pense aux animaux cosmiques de Franz Marc.
Dans ses toiles abstraites, l’artiste met sa fureur au service du geste. Son dynamisme est plein d’entrain. Les tourbillons, le tumulte, caractérisent sa série intitulée Cosmotopie. Dans Variations 14 et 16 on assiste à une pluie d’atomes, à un déplacement d’énergies dans le chaos avant l’apparition des formes. Dans Variante 4, un corps dont on perçoit le pied géant est pris dans un vertige chromatique qui est sur le point de l’aspirer.
Il lui arrive de peindre avec des mouvements amples et circulaires comme s’il combattait un adversaire avec la pointe d’un fleuret, Variations 5, Variation 1, Variation 16.
Cette gestuelle particulière on la retrouve également dans ses dessins.
Dans la série de Gladiateurs, il semble animé par un esprit aux accents surréalistes. Les traits sont cinglants, les corps surpris dans des volumes comme les mannequins sans visage de De Chirico.
Le sujet le préoccupe, surtout dans la série des portraits. Pense-il a la ressemblance, à ce terrible face à face avec l’autre qui embarrasse les plus grands des artistes ?
La femme en jaune est un peu trop figée. Là où il réussit le plus, c’est quand il en dit beaucoup sans trop rentrer dans les détails. La femme allongée que l’on aperçoit sur une plage, qui dans cette lumière aveuglante jaune et bleue est subtilement évoquée.
Dans ses vedute, lorsqu’il s’arrête pour observer l’architecture, ses dessins au lavis se font évanescents. Il s’attarde aux détails, il laisse le mystère de la feuille blanche respirer.
Ses motifs appartiennent à un autre monde. L’univers artistique d’Hervé le Bis semble tourner le dos à l’inquiétante trépidation contemporaine. Sa poésie en cherche les dessous. Il semble nous dire qu’un visage n’est pas à tout prix agressif ou dérangeant et que dans les landes de la Camargue, les taureaux sont toujours là, majestueux et solaires, prêts pour le combat. Il nous dit aussi que la ville n’est pas la seule à mériter d’être traduite en peinture, puisque la nature est toujours là pour nous consoler.
Ileana Cornea critique d'Art et historienne. avril 2011
jeudi 10 février 2011
vendredi 14 janvier 2011
dimanche 14 novembre 2010
jeudi 28 octobre 2010
mercredi 21 avril 2010
jeudi 25 mars 2010
jeudi 11 mars 2010
dimanche 24 janvier 2010
vendredi 11 décembre 2009
La Couleur comme Energie
Fourmillement de signes perçus,
signes ressentis, signes symboles;
langage d'émotions non dicibles.
Illusion des formes qui m'entraîne vers
des confrontations à des échos intérieurs.
Voyage épicurien, où l'oeil choisit comme départ,
des couleurs flamboyantes qui s'animent
jusqu'au moment où la lumière s'électrise, et
à la promenade énigme se mêle la bienveillance
d'une atmosphère chaude et tactile.
mercredi 9 décembre 2009
jeudi 26 novembre 2009
samedi 21 novembre 2009
Méssage dédié aux muses de ma création:
Femme aux partages insolites,complice d'un éclat illicite de lumières transparentes.
Sensuelle, tu jaillis en cascade pétillante;
Puis, attendant ta métamorphose comme une proie pantelante,
au travers d'ondes de velours, tu changes ta palette à la nuit tombante.
Silence du moment où le mystère réssuscite;
Entité relative aux confrontations implicites.
Ma vie
Je ne sais pas si l'attrait de la couleur a été suscité par les promenades nocturnes, en voiture avec mon père, les soirs de Noël à Paris le long des boulevards pour aller voir les lumières des guirlandes illuminées près des Galeries Lafayette... mais l'envie de créer des bijoux de résines transparentes,injectées de nuages colorés et de peindre des vibrations lumineuses, s'est à un moment affirmée dans mon parcours...à suivre...
Inscription à :
Articles (Atom)